L’Europe peut-il s’adapter au marché digital du Streaming ?

Pas besoin d’être avocat pour comprendre que les lois sur le marché du streaming en Europe ne sont pas en adéquation avec la façon dont on consomme la VoD. Une mise à jour de ces lois est désormais plus que nécessaire.

Les lois qui décident des dates de diffusion des programmes sur les plates-formes de streaming comme Netflix, qui compte actuellement plus de 1,5 millions d’abonnées en France, ont été révisées pour la dernière fois en 2009 par la Commission Européenne des Média.  Pour les autorités, la diffusion simultanées des sorties ciné sur Netflix peut être une solution à cette problématique, mais une solution controversée par l’industrie du cinéma.

Aujourd’hui, la chronologie des média est la suivante :

L’état impose un retard de quatre mois après la sortie dans les cinémas, pour la sortie DVD, Blu-Ray dans les magasins et en location. Mais les plates-formes de video à la demande comme Amazon, Hulu, HBO Go, Netflix, doivent respecter un retard de 36 mois, après la sortie du film dans les salles.

Mariya Ivanova Gabriel, l’actuelle députée européenne de l’économie digitale nous apprend que depuis 2012, l’Union Européenne fait différentes expériences quant aux sorties simultanées dans les cinémas et sur les plates-formes Vod. Ils observent les réactions, les avantages et les inconvénients de cette action.

  • Une controverse à Cannes

Un des épisodes les plus récents et représentatifs du rejet des plates-formes VoD a eu lieu au Festival de Cannes cette année. Pour la première fois dans l’histoire du festival, Netflix a participé à la sélection officielle grâce aux films “Okja” et “The Meyerowitz Sories”. La Fédération Nationale des Cinémas Français a ouvertement critiquée le festival, disant que quelque chose qui n’est pas présenté dans un cinéma ne devrait pas être considéré comme du cinéma.

Le gouvernement français viens de signer une loi qui impose une taxe de 2 % à n’importe quelle plateforme vidéo à payé au Conseil national de Films français, afin d’augmenter et aider la production nationale.

Plus d’articles sur ce sujet :

  • Cadenaser: “Cannes tiene que ser un laboratorio”, decía el pasado 13 de abril Thierry Frémaux durante la presentación de la sección oficial de la 70 edición del festival. Viejos conocidos como Haneke y estrellas como Julianne Moore y Nicole Kidman desfilarán por la Cr…” – Artículo Completo
  • Tubefilter: “The French government signed a new law stating that streaming services and video distribution platforms like Netflix and YouTube, which are available in France but not financially established there — and thus not subject to local taxes — mus…” – Full Article
  • Phonandroid: “Voir un film dans une salle de cinéma le jour de sa sortie ou au chaud confortablement installé dans son canapé via la VOD, voilà le choix que l’on peut avoir si la Commission européenne décide d’avancer plus concrètement sur ce terrain. Alor…” – Article Complet

Deceptive Clarity (Clarity of Deception Version 2) – Script / Screenplay

Bernard Drive, a hotshot lawyer is unaware the women who are being murdered with a large portion of flesh removed from the right side of their face links to his dark past he thought he escaped.

On the football field in front of Harper Woods High school, family and friends are gathered on the bleachers and down by the gate surrounding the field listening to a motivational speaker, speak on the graduating class that’s lined up on the field. Among the graduating class in the back row on the end, is BERNARD DRIVE. His head is lowered in shame about something, rubbing the diamond engagement ring on his right hand. His best friend Phil standing beside him, is trying to convince Bernard he should let go of what he’s thinking about, because there’s nothing that can be done to change it. Phil’s words go unheard.

Sixteen years later, Bernard is now a hot shot lawyer, coming out of the courthouse getting surrounded by reporters asking him how he feels about winning the biggest case the county has ever had. Bernard gives them an arrogant response leaving them speechless, smiling fixing his tie, walking away to his car parked down the street. Approaching his car, there’s a homeless man standing beside his car door jingling a Styrofoam cup filled with coins. Bernard approaches the man and they exchange heated words. Ready to fight the man for what he said, Bernard prepares to swing, but then he looks back seeing the reporters staring at them.

Knowing a fight would tarnish his name, Bernard slings the man to the side getting in his car, but before he can close the door, the man throws a balled up paper bag into the car, and then grabs the car door telling Bernard “This is a case you won’t win.” Bernard pulls the door, and the man moves his hand before getting it smashed. Bernard pulls off just as the reporters reach his car. Driving a few blocks away, he pulls into an alley coming to a stop.

Reaching down grabbing the bag opening it, written in sloppy black marker it reads “Vengeance is only sweet, when you make the person you love realize how sweet it is.” Laughing tossing the bag out the window, Bernard places some sanitizer in his hands rubbing it in good, before starting the car pulling off.

That night, Bernard sits on his bed thinking about what the note said, while listening to some classical music drinking cognac. He laughs standing to his feet, and there’s a long scar left on the right side of his stomach from when he was stabbed years ago. Walking over to his mini bar, he grabs a bottle of cognac ready to pour another round, and then he blacks out, having a flashback of a conversation with his mother when he was younger. Coming back to reality, he pours a round throwing it back, slamming the glass on the counter cracking it with a sinister smile, turning to walk out the bedroom.

Inside an abandon building with a fire burning calmly inside an oil drum, there’s a woman tied up to a pole. Sweat and dirt covers her face, breathing heavy, looking around the room in fear. Footsteps are heard drawing near, and her eyes widen when the footsteps come to a stop staring at her killer. The killer wearing black leather gloves grabs her by the face with the right hand, holding up a pair of rusty garden shears in the left. Releasing her face, she gets ready to scream, and the killer shoves the shears under her chin into the mouth opening them. Snatching the shears out, the killer then pulls out a scalpel to remove a large portion of flesh from the right side of her face.

The killer continues on a bloody spree, each victim receiving the signature mark of flesh removed from the right side of their faces. The police have no leads, and the county is shook up in fear. Bernard has to confront his own demons in order to prevent the killer from claiming someone he loves, and learn the meaning behind “Vengeance is only sweet, if you make the person you love realize how sweet it is.”

Read the screenplay

“La Passion Van Gogh” les meilleures avis du public jamais vus

 “En ce moment, nous avons les meilleurs avis du public jamais vus, depuis que nous avons sorti le film aux États-Unis il y a trois semaines. Je pense donc que notre public apprécie notre film.” répond Hugh Welchman à quelques critiques, qui disent que le récit ne correspondait pas à la technique.

65 000 plans peints à la main

Pour réaliser “La Passion Van Gogh”, la technique consistait pourtant “simplement” à animer 120 peintures de Vincent Van Gogh pour nous conter les derniers jours de ce maître de l’impressionnisme. Et le resultat est époustouflant.

“L’âme du projet provient des peintures de Van Gogh, le souffle de l’artiste.” déclare la réalisatrice polonaise, Dorota Kobiela en nous expliquant les difficultés de faire un film entièrement animé avec des peintures à l’huile. La forme du film embrasse à fond le style coloré et inimitable de l’artiste. Cependant, quelques flash-back extraordinaires tout en noir et blanc, nous relates le passé du génie Hollandais.

“La Passion Van Gogh” fonctionne comme une seule peinture géante, format 4:3. Plus de 800 lettres écrites par Van Gogh on servis aux dialoguistes comme matériel de base pour retranscrire avec le plus d’authenticité, le phrasé du peintre. Dorota Kobiela explique: “Van Gogh racontait sa vie à travers ses peintures. Nous avons simplement lié ses oeuvres entre elles pour obtenir un storyboard, auquel nous avons associé ses lettres.”

Produit en Pologne et en Grèce pendant sept ans, les 65 000 plans du film – tous peints à la main – ont nécessités le travail de 125 artistes autour du monde pour recréer l’univers de Van Gogh : Quand un personnage apparaît pour la première fois, son premier plan n’est rien de plus qu’un portrait réaliser par le peintre en personne.

Dates de sortie : 22 septembre 2017 aux États-Unis, 11 octobre en France et 13 octobre 2017 au Royaume Uni.

 

Équipe et Distribution

  • Réalisations : Dorota Kobiela, Hugh Welchman
  • Scénario : Dorota Kobiela, Hugh Welchman, Jacek Dehnel
  • Acteurs, actrices : Douglas Booth, Jerome Flynn, Saoirse Ronan, Helen McCrory, Chris O’Dowd, John Sessions, Eleanor Tomlinson, Aidan Turner …
  • Musique : Clint Mansell
  • Directeur de la photographie : Tristan Oliver
  • Société de Production : BreakThru Productions, Trademark Films
  • Durée : 91 minutes
  • Budget : 5,5 Million de dollars

Plus sur ce sujet:

  • “Donner vie à près de 120 toiles de Vincent Van Gogh, c’était l’incroyable pari du film d’animation “Loving Vincent” qui retrace les derniers jours du peintre néerlandais. Très attendu pour son ambition formelle, le long métrage de la réalisatrice polonaise Doro…” – Article Complet

  • “On 27th July 1890 a gaunt figure stumbled down a drowsy high street at twilight in the small French country town of Auvers. The man was carrying nothing; his hands clasped to a fresh bullet wound leaking blood from his belly.This was Vincent van G…” – Full Article

  • “La película de animación Loving Vincent, de la que se ha hablado tanto, va a estrenarse el otoño que viene en cines del todo el mundo. Esto es, para Holanda, el país natal de Vincent van Gogh, el comienzo de una serie de eventos y exposiciones en los que…” – Artículo Completo

  • “Van Goghs Bilder in Bewegung. Liebeserklärung an einen Weltstar: Der Animationsfilm „Loving Vincent“ feiert in Annecy Weltpremiere. 50 Künstler haben jahrelang Vincent van Goghs Werke nachgezeichnet und erwecken damit seine Bilder zum…” – Vollständiger Artikel

Apple TV s’étend au-delà des Etats Unis

La plateforme streaming d’Apple (Apple TV) s’étend lentement au-delà des États-Unis

Comme HBO ou encore Hulu, Apple a lancé en 2016 sa propre application “Apple TV”. Aujourd’hui l’appli commence à se montrer à l’extérieur des États-Unis, notamment en Australie et au Canada. L’ambition était de proposer une plateforme sur laquelle on peut trouver facilement des films ou des séries, sans changer des services en continu.

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Selon certains articles sur les réseaux sociaux, l’application ne marche pas correctement et reste souvent coincée au chargement. Apple pourrait l’avoir simplement sorti pour préparer à la mise à jour en continu d’OS. AppleTV commencera probablement à fonctionner sans hic une fois que tvOS 11 arrivera. Après les US, le Canada et l’Australie, Apple a promis de sortir l’appli au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Norvège et en Suède avant la fin d’année.

 

Plus sur ce thème :

  • Numerama: “Nous n’avons pas manqué l’appel de l’Apple TV 4K, une box télé toujours aussi pertinente dans un écosystème Apple mais qui nécessite des mises à jour pour exprimer son plein…” – Article Complet
  • engadget: “Apple’s ‘TV’ app has begun showing up outside the US, signaling the start of the rollout it promised during its latest iPhone event. According to MacRumors and 9to5Mac, the app has already appeared for some users in Australia and Canada ahead…” – Full Article
  • Welt: “Auf einen Apple-Fernseher, über den Firmengründer Steve Jobs bis kurz vor seinem Tod 2011 immer wieder geredet hat, warten die Fans der Marke mit dem Apfel-Symbol bis heute vergebens. Unter dem Namen Apple TV gibt es nur eine kleine schwarze Streamin…” – Vollständiger Artikel
  • ElConfidencial: “Apple TV 4K llega a España: ¿merece la pena pagar 200 euros por este invento? El dispositivo de la manzana llega a las tiendas con versiones de 32 y 64 GB. Conectado a una televisión, permite disfrutar de ‘apps’, juegos y otros contenidos…” – Artículo Completo

Adieu Harry Dean Stanton

Harry Dean Stanton, l’homme aux 200 films

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Un second couteau est un acteur ou une actrice qui ne s’illustre jamais dans un premier rôle. Même si on connaît tous son visage, personne ne connaît son nom et il n’occupe jamais le devant de la scène. Harry Dean Stanton était l’un de ces seconds couteaux typiques d’Hollywood. Il nous à quitté vendredi à l’âge de 91 ans. De “La Conquête de l’ouest” à “Twin Peaks”, nous n’allons pas revenir sur toutes les apparitions de Stanton qui dépassent le nombre de 200. Nous voulons juste rendre hommage à l’un des éternels seconds rôles les plus connus de l’histoire du cinéma.

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“Reste toi-même et laisse le costume jouer et raconter l’histoire.” Harry Dean Stanton reçut ce conseil de Jack Nicholson sur le tournage “l’Ouragan de la vengeance” de Monte Hellman. Un conseil pertinent puisque Dean restait vrai jusqu’au bout. C’est sans doute cette qualité qui faisait de lui une sorte de doudou porte-bonheur pour tant de cinéastes. Il était ainsi le plus “vrai” des membres de l’équipage du Nostromo dans “Alien”, apportant sa sensibilité country et sa démarche juvénile jusque dans les étoiles. Deux ans plus tard, en 1981, Harry va devenir l’un des seconds rôles emblématiques de la décennie, en accompagnant Snake Plissken dans l’odyssée urbaine : “New York 1997”.

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Il s’ajoute ainsi dans la longue liste des seconds rôles géniaux dénichés par John Carpenter (Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasance, Isaac Hayes…).

Wim Wenders lui offre finalement le seul grand rôle de sa carrière, Travis dans “Paris Texas”. Le road movie des road movies, où l’invraisemblable silhouette de l’acteur déambule dans le désert, prête à se dissoudre dans la poussière. Cette histoire d’amour et de désir filmé avec une beauté et une sensibilité unique recevra la Palme d’Or au Festival de Cannes en 1984.

Il faut également parler de la collaboration Dean Stanton/Lynch, qui débute en 1990 avec “Sailor & Lula”. En 1999, la scène finale d”Une Histoire vraie” aurait été une épitaphe parfaite pour Harry Dean Stanton. Mais à 73 ans il n’allait pas déjà prendre sa retraite.

Du faux condamné à mort dans “La ligne verte” à l’homme dans le hangar d”Avengers” en passant par son apparition dans “Le Dernier Rempart”, on n’oubliera pas cette gueule cassée à l’aura ingénue qu’était Harry Dean Stanton.

D’autres hommages:

TheGuardian

Libération

“Au revoir là-haut” d’Albert Dupontel – Critique

Albert Dupontel adapte au cinéma le roman primé au Goncourt de Pierre Lemaître

France, 1919. Deux vétérans de la Grande Guerre inaptes à reprendre le cours de leur ancienne vie au sein de la société civile décident de monter une arnaque aux monuments aux morts. Dans la France des années folles, l’entreprise va se révéler aussi dangereuse que spectaculaire…

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Basé sur une reconstitution des années 1918-20, “Au revoir là-haut” fait évoluer Albert Dupontel hors de sa zone de confort et des comédies burlesques à l’humour noir. Une telle direction artistique est une innovation dans la filmographie de cet ancien humoriste. Et il nous prouve ainsi qu’il est tout à fait capable de gérer ce genre de projets ambitieux. Le travail de reconstitution de cette période historique effervescente est la véritable prouesse de cette oeuvre. Des tranchées au Paris du XXème, des décors aux costumes… tout est mené d’une main de maître et offre à cette histoire la portée picturale qu’elle méritait. Un travail minutieux a été fait sur le grain et la colorimétrie. Ce qui donne l’impression d’être devant des images d’archives qui datent d’il y a un siècle, alors qu’elles ont été tournées en numérique. La mise en scène lente et ample fait honneur au travail de l’équipe artistique. En particulier dans la partie du film qui se déroule dans les tranchées.

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Fidèle au roman de Pierre Lemaître, le film se concentre sur le drame humain et la souffrance de deux marginaux, thème chère au cinéma de Dupontel. Il interprète d’ailleurs le premier des deux rescapés, le modeste comptable. Le second, l’artiste maudit, est incarné par Nahuel Perez Biscayart, LA révélation du récent phénomène “120 Battements par Minute”. Le scénario de Dupontel apporte un soin particulier aux personnages secondaires. On notera la présence parmi eux de Laurent Laffite et Niels Arestrup, qui incarne brillamment leurs personnages. Mais celle dont on se souvient encore des jours après le visionnage, c’est Émilie Dequenne, dont le personnage a droit au plus beau traitement du film.

Il semble qu’Albert Dupontel ait compris qu’il fallait en passer par un certain classicisme pour secouer une industrie hexagonale quelque peu moribonde. Espérons que le public lui donne raison. “Au revoir là-haut” sortira en salles à partir du 25 octobre.

Équipe et distribution :

  • Réalisation et scénario: AlbertDupontel
  • Actrices & Acteurs: Nahuel Perez Biscayart, Albert Dupontel, Laurent Lafitte, Niels Arestrup, Emilie Dequenne, Mélanie Thierry
  • Compositeur: Christophe Julien
  • Directeur de la photographie: Vincent Mathias

 

Plus d’articles sur ce film :

  • Fotogramas: “‘Au revoir Là-Haut’, La Consagración del Cineasta Albert Dupontel. Con su sexta película el cineasta francés emociona, intriga, apasiona y deslumbra, manteniendo su marca de la casa, su afilada y visceral critica de la sociedad. Con Nahuel Pérez Biscayart (mejor vas reteniendo este nombre, un talento desbo…” – Artículo Completo
  • Première: “Avec Au revoir là-haut, Albert Dupontel tient enfin son grand film. Présenté au festival d’Angoulême, le film de Dupontel a fait l’unanimité. En adaptant le livre de Pierre Lemaître, il concilie ses obsessions d’artiste et ses ambitions de cinéaste. Lorsqu’il réalise le corrosif Bernie en 1996, Albert Dupontel, clow…” – Article Complet
  • EcranLarge: “Toujours plus imprévisible et audacieux, Albert Dupontel nous revient avec l’adaptation d’Au-Revoir Là-Haut, prix Goncourt de 2013, écrit par Pierre Lemaïtre. Alors que le réalisateur se frotte ici pour la première fois au difficile exercice de la reconstitution historique, a-t-il trouvé un terrain de jeu à…” – Article Complet
  • Europe1: “Au revoir, là-haut”, fresque exubérante et baroque de la Première guerre mondiale, librement adaptée par Albert Dupontel du roman de Pierre Lemaitre, prix Goncourt 2013, a été présenté mardi en avant première au festival du Film Francophone d’Angoulême. Un jeu autour des masques. Le film, long…”- Article Complet

Marc Webb : Hollywood et le ciné indépendant

À l’occasion de la sortie de Mary, le réalisateur Marc Webb nous dit tout sur son expérience à Hollywood

Depuis son premier long-métrage, “(500) Days of Summer”, jusqu’à son expérience sur le blockbuster “The Amazing Spiderman”, Marc Webb revient sur son parcours et dit tout au micro d’AlloCiné.

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Marc Webb a eu une bonne première expérience avec son premier film. “(500) jours ensemble” est pour beaucoup LA meilleure comédie romantique du cinéma indépendant. Le film rencontre son public grâce à un bouche-à-oreille provoqué par son passage dans de nombreux festivals. Il est très vite été salué par la critique.

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Suite à ce succès, les studios Sony et Columbia contactent Marc Webb pour réaliser une nouvelle version des aventures de l’homme araignée. C’est ainsi que sort en 2012, le juvénile mais très musicale “Amazing Spider-Man”, avec Andrew Garfield. Le premier ayant bien marché en salle, Marc Webb se voit forcer par les studios de mettre en scène un second opus. Une fois “Amazing Spider-Man 2” sortie en salles, Marvel est alors racheté par Disney. Il deviendra le mastodonte que l’on connaît aujourd’hui et la saga débutée par Marc Webb ne sera jamais close. Car c’est Tom Holland dans “Captain America: Civil War” qui remettra le costume de l’araignée en 2016.

Suite à ces malentendus, Mar Webb est revenus à des plaisirs plus simples. Pendant le temps qui lui fallait pour faire un seul spider-man, il réussit à tourner, monter et sortir deux films. “Mary” et “The Only Living Boy in New York”. L’un d’eux, “Mary” avec Chris “Captain America” Evans, a été très bien accueillis dans les Festival. Il vient de remporter le Prix du Public à Deauville

Marc Webb s’illustre actuellement dans nos salles avec “Mary” :

 

Plus sur ce sujet :

  • AlloCiné: “Revenu du monde des blockbusters, après avoir réalisé les deux “Amazing Spider-Man”, Marc Webb a, grâce à “Mary”, renoué avec le cinéma indépendant, qu’il évoque à notre micro au même titre que l’état actuel d’Hollywood. Du cinéma indépendant à Spider-Man… et inversement. Après avoir mis l’Homme-Ar…” – Article Complet
  • indiewire: “After making a name for himself with his debut indie romantic comedy “(500) Days of Summer,” Marc Webb made one of Hollywood’s biggest leaps to direct “The Amazing Spider-Man” and its sequel, starring Andrew Garfield and Emma Stone. However, after a poor box-office showing for “The Ama…” – Full Article
  • FilmStarts: “Die Westboro Baptist Church ist eine der berüchtigtsten Hass-Gruppen der Welt. Nun soll ein Hollywoodfilm über diese und ihre berühmteste Aussteigerin entstehen.Seit 1955 existiert die Westboro Baptist Church und schafft es in den USA immer wieder in die Schlagzeilen. Obwohl die Gruppe ei…” – Vollständiger Artikel

Pascha & Santangelo – scénario

Zwei Männer, Pascha und Santangelo, die sich in allem unterscheiden, andauernd sticheln, ständig Steine in den Weg legen, und dennoch zusammenhalten, wenn’s darauf ankommt. Denn insgeheim mögen sie sich über Alles und können ohne einander gar nicht auskommen. Um sie herum Familie, Freunde, Feinde, mit denen sie gemeinsam durchs Leben stolpern.

Eine Fernsehserie über Land und Leute, in spannenden, in sich abgeschlossenen Geschichten erzählt. Gewürzt mit scharfen, bissigen und häufig witzigen Dialogen. Bodenständig und kopflastig zugleich. Man hat einfach Lust, dabei zu sein.

 

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L’étrange Festival – Films à découvrir

L’étrange Festival 2017 – Les films à ne pas manquer

Comme chaque année, l’étrange Festival nous dévoile les artistes de demain ainsi que les toutes dernières productions décalées. on se souvient encore du dernier Alejandro Jodorowski, Poesía Sin Fin qui a reçut le prix du public l’an passé.

Cette année, des gros noms sont déjà en compétition. Le réalisateur Kiyoshi Kurosawa est de la partie avec un thriller de science-fiction sur la nature humaine, Avant que nous disparaissions. L’Hongrois Kornél Mundruczó, déjà connus du grand public avec White Dog, nous offre cette année Jupiter’s Moon. Alors qu’il traverse illégalement la frontière, un jeune migrant se fait tirer dessus. Ce choc émotionnelle lui procure le pouvoir de lévitation. Une allégorie des réfugiés comme celle qu’a put entreprendre Zack Snyder en faisant de Superman le symbole des migrants. Ici le héros ne crache pas des rayons lasers des yeux mais il vole au dessus des lois et des frontières. Un chef d’oeuvre de scénario et de machinerie, aussi effroyable que divertissant, dans la lignée de Children of Men dont il a dut s’inspirer.

Mais L’étrange Festival, c’est aussi des jeunes noms à découvrir. Parmi eux, nous sommes très intrigués par As Boas Maneiras de Juliana Rojas & Marco Dutra. Clara une jeune infirmière de banlieue, fait la rencontre d’une riche et mystérieuse Ana. Cela promet un scénario à rebondissement ainsi qu’un atmosphère soignée.

Où encore Mon Mon Monsters, la comédie d’horreur taïwanaise de Giddens Ko. L’histoire de Lin un jeune et gentil lycéen qui subit les humiliations d’un groupe. Lin va se voir intégrer dans ce groupe. Une nuit, une rencontre improbable va marquer le début d’un long jeux sadique.

Parmi les ovnis appétissant du festival on attend beaucoup de Purgatoryo de Derick Cabrido. Un thriller philippin horrifique  dont nous vous livrerons pas le Pitch qui gâche tout le plaisir de découvrir cette ovni en salle.

À suivre …

Plus sur ce thème :

http://www.etrangefestival.com/2017

http://www.20minutes.fr/culture/2131395-20170912-etrange-festival-cinq-films-vont-mettre-plein-yeux

http://www.filmdeculte.com/cinema/actualite/LEtrange-Festival-2017-notre-dossier-24660.html

http://www.filmdeculte.com/cinema/actualite/MON-MON-MON-MONSTERS-gros-plan-sur-le-film-dhorreur-taiwanais-en-competition-a-Neuchatel-24468.html

http://www.filmdeculte.com/cinema/film/Lune-de-Jupiter-La-6565.html

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